Archive pour le tag 'Ouzbékistan'

déc 20 2009

Musiques de la Route de la Soie

Catégorie Musique

sélection des meilleurs musiques que l’on a eu l’occasion d’écouter dans les pays de la Route de la Soie :
écouter n°1
écouter n°2
écouter n°3
écouter n°4
écouter n°5
écouter n°6

juin 25 2009

Tour du monde à vélo : Carnet de voyage numéro 4

Ca y est, il est expédié. Vous allez recevoir très bientôt notre carnet numéro 4 sur l’Ouzbekistan. Vous pouvez en voir un extrait en cliquant sur les images ci-dessous :


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Carnet de voyage n°4 sur l’Ouzbékistan





Si vous n’êtes pas encore inscrit, c’est par ici !

juin 24 2009

Est- ce que vous avez déjà…

…… CHANTE AVEC UN DOUANIER ?

OUZBEKISTAN, le 15 mai 2009 – Poste frontiere OUZBEKISTAN – KIRGHIZSTAN

Les passages de frontière, ce n’est pas simple. Du côté ouzbek, pas de problème. Ca c’est même mieux passé que prévu puisqu’ils ne nous ont pas demandé nos fameuses « registration », on n’a donc pas eu besoin d’expliquer les trous. Côté kirghize en revanche, c’est moins simple. Le guichetier en uniforme joue à Dieu le père et fait passer qui il veut avant les autres. Quand vient notre tour, il constate le problème du visa de Claudine. L’adjoint du consul à Tachkent a coché une mauvaise case. Du coup elle a bien un visa de 30 jours mais avec la case « no exit » cochée. Elle semble donc obligée de rester à vie dans le pays…30 jours seulement. L’incohérence de la situation n’intéresse pas les policiers, ce qui les intéresse, on l’a bien compris, c’est le petit dédommagement qu’on va devoir leur donner pour arranger cette petite erreur. Comme on n’est pas pressé et qu’on a épuisé notre budget bakchich, on se lance dans une séance de palabres qui n’aboutiront que dix minutes plus tard lorsque, à court d’arguments, j’expliquerai au policier qu’à l’évidence l’adjoint du consul devait être bourré. Ca a fait rigolé tout le poste de police et on a pu passer jusqu’au guichet suivant celui de la douane. On passera la demi heure suivante, non pas à vider nos sacs, mais à parler de la France, des acteurs français et des grands chanteurs français que sont Joe Dassin, Desirless et Patricia Kaas. Le douanier me fera même chanter avec lui Desirless. Qu’est-ce que vous pouvez refuser à un type qui tient vos passeport dans la main ? « Voyage, voyage »

juin 23 2009

Tour du monde à vélo : Deuxième séance chez le barbier

Catégorie Vidéos


OUZBEKISTAN, le 14 mai 2009 – ANDIJAN

Je vais surement faire le test dans tous les pays. Ici c’est plus rudimentaire qu’en Turquie. Je n’ai pas le droit à la séance d’épilation finale ni au briquet qui me brûle les joues. Par contre le barbier fait plusieurs rasages, quatre pour être exact. Le premier avec la tondeuse bien sûr, le deuxième avec beaucoup de mousse à raser, le troisième avec de la mousse à raser très diluée à l’eau chaude et le dernier uniquement avec de l’eau très chaude.

juin 22 2009

Tour du monde à vélo : Rencontres avec les Ouzbeks

Catégorie Carnet de route


OUZBEKISTAN

Dès notre entrée sur le sol ouzbek, on nous a prévenus. Impossible de dormir ailleurs que dans des hôtels habilités à recevoir des touristes. Chaque nuit est consignée sur un bout de papier très officiel qu’on appelle « registration » et que nous devons conserver précieusement pour le présenter à notre sortie du territoire. Faute de quoi on serait en droit de nous réclamer 700 € d’amende par personne. Cette mesure vise apparemment à éviter que les touristes ne rentrent trop en contact avec la population non autorisée. A l’évidence, les voyageurs qui suivent les circuits organisés par les agences de voyage et les cars de touristes sont les bienvenus, les cyclistes autonomes le sont moins…

Nous avons joué le jeu pendant notre première partie de voyage dans les villes touristiques du pays, mais sur nos vélos, nous avons repris nos habitudes d’itinérants, et chaque soir nous allions demander l’autorisation de planter notre tente dans un jardin ou une cour, dans les villages que nous traversions. Personne bien sûr ne nous a jamais refusé cette autorisation et nous devions plutôt nous battre pour réussir à dormir sous notre toile de tente et non pas dans la maison du propriétaire des lieux. Tous ces soirs ont été l’occasion d’échanges et de conversations animées, où nous avons mis en pratique les rudiments de russe que nous avions acquis, car personne, mais alors vraiment personne ne parle anglais.

Un soir dans la vallée du Ferghana, Claudine repère un emplacement qui nous paraît idéal. Plat, en contrebas de la route et très proche des habitations, ce petit coin de terre non cultivé ne semble attendre que nous. Un homme coupe du bois non loin de là et il me donne la permission de camper là. Il vient assister au montage de notre « mini-yourte » et il est très vite rejoint par les curieux qui passent sur la route. Les voitures s’arrêtent et les passagers s’approchent, contemplent puis repartent. Des groupes d’hommes, de femmes et d’enfants se forment puis se déforment. Les gens nous prennent en photos et appellent par téléphone toutes leurs connaissances pour venir nous voir. Ils sont parfois plus de 20 à nous observer. Tour à tour une personne se détache du groupe et vient nous interroger sur notre parcours, notre nationalité ou notre âge et nous inviter à dormir dans sa maison. Chaque fois nous insistons pour rester sous notre tente : elle repart alors raconter ce que nous avons dit au reste du groupe. On entend alors notre histoire racontée, parfois même par téléphone, à un public toujours admiratif. Deux fois des hommes nous tendent un téléphone. A l’autre bout du fil une de leurs connaissances qui parle français, enfin qui a suivi 3 ou 4 leçons il y a 20 ou 30 ans… Ca donne des situations comiques. Et puis une fois leur curiosité satisfaite, les gens repartent. Certains reviennent quelques minutes plus tard avec une assiette ou un bol de lait, de confiture, un morceau de pain frais ou des fruits du verger. Un homme nous offrira même une serviette de bain… Tous ces gens que nous avons rencontrés dans les campagnes sont curieux et accueillants : ils ne nous réclament rien, ne veulent rien nous vendre. Ils sont justes contents et étonnés de rencontrer des cyclistes français et nous avons passé des moments authentiques en leur compagnie. On aurait bien eu tort de rester coincer dans nos hôtels.

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juin 21 2009

Tour du monde à vélo : La police

Catégorie Carnet de route


OUZBEKISTAN – La police

Honnêtement on s’attendait à être plus ennuyés.

Dans Tachkent, aucun contrôle, hormis dans le métro, lieu stratégique s’il en est ,puisque certaines galeries servent également d’abris antiatomiques pour la ville.

A vélo, nous sommes arrêtés à presque tous les barrages routiers, le plus souvent pour satisfaire la curiosité des policiers ou des militaires en faction. Notre parcours provoque souvent des exclamations admiratives et on n’a jamais eu de problème.

En voiture lors de nos excursions, nous avons par contre constaté qu’il n’en est pas de même pour les Ouzbeks. Dans les taxis collectifs, chaque barrage (et ils sont nombreux) est le moyen d’obtenir un petit billet (souvent 1000 SUM) de la part du chauffeur, sorte de taxe de transport en somme. Les passagers, eux, sont laissés tranquille. On trouve également beaucoup de policiers équipés de radars. Là encore ils sont le prétexte à extorquer quelques billets aux contrevenants. On n’est même pas sûr qu’il y ait des piles dans leurs radars… Les automobilistes ne se formalisent pas d’être arrêtés. Ils sortent de leur voiture avec un grand sourire et vont directement serrer la main du policier qui les a arrêtés. S’ensuit une petite discussion cordiale que l’on pourrait croire être celle de deux amis de longue date. Le tout se conclut souvent par une nouvelle poignée de main avec cette fois un billet plié en quatre qui passe d’une paume à une autre.

Un de nos chauffeurs s’est fait « flasher » entre Khiva et Boukhara au nord ouest du pays. Il ne l’avait pas volé puisque depuis deux heures il roulait à plus de 160 km/h sur des routes défoncées. Il est sorti de la voiture, a traversé la chaussée et est allé discuter avec le policier qui l’avait arrêté. On l’a vu s’accroupir derrière le capot de la voiture de police puis se relever, serrer la main du policier et revenir vers nous avec un sac en plastique qu’il a chargé dans le coffre de notre voiture. Il expliquera aux autres passagers qui nous traduiront, qu’il a été chargé en guise d’amende de livrer le sac rempli de poissons à quelque ami du policier. Lesquels poissons devaient eux-mêmes être l’amende d’un précédent automobiliste…

flicbarrage

juin 20 2009

Tour du monde à vélo : En haut de la Passe de Kamchik

Catégorie Vidéos

juin 20 2009

Tour du monde à vélo : Ces détails qui nous ont marqués 12


OUZBEKISTAN – Le ravitaillement le long des routes

Tout au long de notre trajet entre Tachkent et la frontière Kirghize, nous avons croisé des vendeurs le long des routes. On ne voit pas toujours les vendeurs, seulement une table ou une chaise posée sur le bord de la chaussée avec dessus, posés en évidence, de l’eau, une bouteille de coca ou de fanta, des fruits, des cigarettes vendues à l’unité ou des bidons d’huile. Les chauffeurs s’arrêtent et le vendeur sort alors de sa maison ou de sa cabane non loin de là et accourt pour les servir. Pour nous c’était un peu comme le ravitaillement du tour de France, on guettait les bouteilles d’eau et cela nous évitait d’être trop chargé.

juin 20 2009

Tour du monde à vélo : La passe de Kamchik 2

Catégorie Vidéos

juin 19 2009

Tour du monde à vélo : Accident dans la montée à la passe de Kamchik

Catégorie Brèves


OUZBEKISTAN, le 09 mai 2009 – En route pour le Kirghizstan

Les véhicules sont souvent dans un drôle d’état ici. Seule la carrosserie est entretenue et lustrée pendant des heures. Les moteurs le sont bien moins et on a l’impression que les conducteurs attendent que ça casse pour faire réparer. Et bien de temps en temps ça casse. En montant la passe de Kamchik, dans une portion très raide à plus de 10%, j’ai entendu un choc devant moi derrière le virage suivant. Lorsque j’ai tourné et que j’ai vu ce qui c’était passé, j’ai constaté que le chauffeur du camion avait eu le bon réflexe en se jetant sur le terre-plein-central quand son embraillage a cassé, car de l’autre côté de la chaussée, c’est le vide…

camion

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