Archive de la catégorie 'Ces détails qui nous ont marqués'

août 20 2009

Tour du monde à vélo : Ces détails qui nous ont marqués 22


CHINE, 05 juillet 2009 – Hotan

Et pour ceux qui n’ont pas les moyens, il reste le bon vieil arracheur de dents qui officie directement dans la rue les jours de marché. Nous espérons ne pas avoir de problèmes de dents…

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août 19 2009

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CHINE – Les dentistes

Des problèmes de dents ? La solution est partout. En tout cas les dentistes sont partout. Ils ont pignon sur rue, entre le restaurant et le supermarché, à côté d’un coiffeur ou d’un réparateur de vélo, les gens se font soigner les dents sur un fauteuil en vitrine.

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août 12 2009

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CHINE – Taxis collectifs

Voici des taxis collectifs très répandus dans cette région. Au bord des routes, les gens font un signe pour que la mobylette s’arrête. Ils grimpent, puis s’assoient les jambes ballantes sur la plate-forme arrière.

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juil 28 2009

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CHINE – Les langues du Xinjiang

Dans cette région de l’ouest de la Chine, la population étant pour la plupart musulmane, tous les panneaux de signalisation routière et toutes les enseignes sont écrits en chinois et en arabe. Cette écriture arabe est assez étrange ici car leur langue fait partie des langues turques ou d’Asie Centrale qui utilise notre alphabet.

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juil 09 2009

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KIRGHIZSTAN – Les gens qui collent

Chez nous il existe une sorte d’espace de liberté, une zone autour de nous qui nous appartient. Quand vous discutez avec quelqu’un, votre interlocuteur se tient à une distance suffisante pour respecter votre « espace de liberté ». Quand vous marchez dans la rue chacun respecte instinctivement la zone des autres. Et bien ici non. Ce fameux espace n’existe pas. Les gens vous frôlent en permanence. Quand vous marchez vous sentez parfois le souffle de celui qui vous suit sur votre nuque. Pour croiser quelqu’un dans un espace réduit, inutile de s’attendre à ce que la personne vous laisse passer, pourquoi faire ? Il suffit de se croiser en se plaquant l’un contre l’autre, ça passe. C’est très surprenant au début et puis on s’y fait.
Le plus gênant c’est au guichet de la banque quand on vous tend vos billets et que de part et d’autre, vous avez 3 ou 4 personnes agglutinées contre vous qui recompte avec vous la somme que le banquier vient de vous remettre !

juin 29 2009

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KIRGHIZSTAN – Les voitures allemandes

En franchissant la frontière entre l’Ouzbékistan et le Kirghizstan, c’est la première chose qui nous a sauté aux yeux. Partout on croise des grosses berlines allemandes. Des BMW, des Mercedes, des Opel ou des Volkswagen rutilantes aux vitres teintées. Vu le prix de certaines de ces voitures en Europe on avait du mal à comprendre comment ces voitures dernier cri pouvaient être en possession des kirghizes. La réponse : ce sont toutes des voitures accidentées qui viennent d’Allemagne. Il semble que là-bas les formalités pour acheter des épaves dans les casses soient plus souples qu’en France. Les épaves sont ensuite acheminées au Kirghizstan puis réparées soigneusement. Tant et si bien qu’on ne se rend absolument pas compte que la voiture était une épave jusqu’à ce que l’on monte dedans. Là, au bruit ou lors des freinages, on comprend très vite qu’il y a un truc qui cloche. On nous a dit que le commerce de ces voitures avait explosé et que le pays comptait six millions de voitures pour cinq millions d’habitants. Les prix sont donc bas et on peut acheter la dernière Mercedes à la mode chez nous pour 5000 à 7000 €. Et si on a bon goût, on pourra rajouter pêle-mêle des enjoliveurs qui éclairent la nuit, des vitres et des phares teintés, des klaxons aux sons hallucinants et des ailerons en tout genre.

juin 28 2009

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KIRGHIZSTAN – Les fleuristes de Och

A Och, nous avons été surpris par le nombre important de fleuristes proposant en extérieur des fleurs coupées (roses, œillets) et des compositions. Très souvent nous apercevions jeunes et moins jeunes avec des bouquets à la main car les kirghizes ont l’habitude de s’offrir des fleurs à la moindre occasion.
Dès notre arrivée, Olivier n’a pas manqué d’embellir notre chambre d’hôtel avec un bouquet de très belles roses rouges !

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juin 28 2009

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KIRGHIZSTAN – Couper les serviettes

Dans tous les restaurants kirghizes, on trouve sur chaque table un petit tas de serviettes en papier. Enfin plutôt un tas de demi-serviettes puisque, par soucis d’économie, les serviettes sont coupées en deux suivant leur diagonale. On voit ainsi des « ateliers » découpage de serviettes pendant la journée. Les serveurs prennent un tas de serviettes neuves, les plient en deux puis les coupent avec des ciseaux. Inutile de dire qu’une demi-serviette n’est jamais suffisante pour s’essuyer les doigts après les brochettes de viande bien grasse…

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juin 26 2009

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KIRGHIZSTAN – Les Chaykhanas

Comme en Ouzbékistan, nous retrouvons dans ce pays des Chaykhanas, sortes de restaurants. A l’intérieur, il y a des « cabines » pour manger isolé des autres clients et à l’extérieur on peut s’installer sur des banquettes surélevées. Ici à Och au Kirghizstan, nous avons été étonnés de voir des stands bien définis par activité au sein d’un même restaurant. Il y a celui des brochettes, celui du thé et celui du repas.
Au moins une fois par jour lorsque nous sommes en ville, nous allons manger dans ce genre de lieu. Même à vélo, après avoir quitté Och, nous cherchions à nous reposer pendant le temps de midi dans ces endroits. Sur la route, le plus difficile est de les repérer : l’entrée est souvent peu engageante et il nous faut passer le pas de la porte pour être sûrs qu’on y sert bien à manger.

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juin 20 2009

Tour du monde à vélo : Ces détails qui nous ont marqués 12


OUZBEKISTAN – Le ravitaillement le long des routes

Tout au long de notre trajet entre Tachkent et la frontière Kirghize, nous avons croisé des vendeurs le long des routes. On ne voit pas toujours les vendeurs, seulement une table ou une chaise posée sur le bord de la chaussée avec dessus, posés en évidence, de l’eau, une bouteille de coca ou de fanta, des fruits, des cigarettes vendues à l’unité ou des bidons d’huile. Les chauffeurs s’arrêtent et le vendeur sort alors de sa maison ou de sa cabane non loin de là et accourt pour les servir. Pour nous c’était un peu comme le ravitaillement du tour de France, on guettait les bouteilles d’eau et cela nous évitait d’être trop chargé.

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