Archive de la catégorie 'Ces détails qui nous ont marqués'

juin 15 2009

Tour du monde à vélo : Ces détails qui nous ont marqués 11


OUZBEKISTAN – Les toilettes immondes

On a franchi un cap, c’est sûr. La propreté des toilettes est un terme qui n’existe plus. Dans les restaurants, les bars, c’est un trou dans une cahute au fond d’une cour. Enfin, il y avait un trou, mais depuis une bonne dizaine d’années, il est plein le trou. Chez les gens c’est toujours une cabane au fond du jardin composée de quatre planches, parfois un toit en tôle ondulée et un trou qu’il vaut mieux avoir repéré avant d’y aller la nuit. Dans les hôtels, c’est du 50-50, parfois acceptable, parfois immonde. On ne vous a pas mis la pire photo…
Et dire qu’on se plaignait des fuites d’eau dans les salles de bain turques. Là on est un cran au-dessus. Un gros cran au-dessus.

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juin 12 2009

Tour du monde à vélo : Les toits de Samarcande


OUZBEKISTAN, le 02 mai 2009 – SAMARCANDE

A Samarcande, nous avons pu accéder moyennant un « pourboire » au policier, en haut d’un minaret dans l’enceinte du site du Registan. De là, la vue était magnifique sur les trois anciennes madrasas (écoles coraniques), mais aussi sur les coupoles relativement mal entretenues de la Mosquée de Bibi Khanoum…

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juin 08 2009

Tour du monde à vélo : Ces détails qui nous ont marqués 10


OUZBEKISTAN – Le thé vert

Le jus de grenade est une spécialité. Mais nous avons plutôt testé la boisson nationale : le thé vert.
Pour 0,20 €, on vous sert dans la théière traditionnelle aux couleurs bleues et blanches un thé bien chaud.
Contrairement au thé noir de Turquie très fort et très sucré, ici on ne vous apporte pas de sucre, c’est encore plus désaltérant !

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juin 07 2009

Tour du monde à vélo : De copieux petits-déjeuners

Les petits-déjeuners sont très copieux. Du thé vert bien sûr, mais aussi des œufs sur le plat ou durs, des crêpes, des biscuits, du fromage, de la charcuterie… Un régal !

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juin 03 2009

Tour du monde à vélo : Ces détails qui nous ont marqués 9


OUZBEKISTAN – Les hotels

Voici quelques détails qui nous ont marqués dans les hôtels de notre route :
• Tout d’abord, les couloirs sont souvent très sombres et peu engageants.
• Ensuite, l’état de la chambre ne donne pas ni envie de poser le pied par terre, ni d’y déposer quoi que ce soit. Heureusement pour marcher nous avons de minces chaussons récupérés dans un hôtel d’Istanbul et qui nous sont très utiles ici.
• Les salles de bain ne sont pas des lieux où il est bon de se prélasser… Nous avons toujours un moment d’hésitation avant de poser le pied dans la baignoire. La plupart des salles de bains sont peu ou pas entretenues, sentent le moisi et sont très sommaires : souvent la porte ne ferme pas, certaines n’ont pas de lavabo, d’autres en ont un mais sans tuyau d’évacuation…
• Le papier toilette, lorsqu’il y en a, est dans ce pays assez particulier. Pas de rouleau central, ni la douceur et le moelleux de chez nous. Par contre il est si épais qu’il ne doit pas être jeté dans la cuvette, mais déposé dans la poubelle. Ce qui n’arrange rien à l’odeur de la pièce.

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mai 30 2009

Tour du monde à vélo : Cacher les billets

Ici la plus grosse coupure correspond environ à 0,50 €. Donc lorsqu’on change l’équivalent de 270 euros, nous nous retrouvons avec 540 000 billets qu’il faut ranger. Avant de partir, j’avais demandé à ma P’tite Mum de me confectionner des poches dans mon soutien-gorge pour pouvoir y cacher des billets. A cette époque on ne se doutait pas qu’on serait en possession de tant de billets à la fois. Du coup ici en Ouzbékistan, ces poches sont tellement chargées que ma poitrine est complètement déformée !

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mai 30 2009

Tour du monde à vélo : Compter les billets

La moindre somme à payer nécessite de compter des quantités importantes de billets et les Ouzbeks ont une façon très particulière de le faire. Ils plient leur liasse de billets de 1000 en deux, la bloquent dans une main et avec l’autre main attrapent les billets les uns après les autres pour les faire glisser à l’avant.
Cette technique n’est pas simple à expliquer, mais elle s’avère très efficace pour payer les grosses sommes comme les petites. C’est en observant les gens que nous l’avons acquise dès les premiers jours. Le coup de main se prend assez vite, mais le plus difficile a été de comprendre avec quels doigts la liasse était maintenue.

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mai 21 2009

Tour du monde à vélo : Ces détails qui nous ont marqués 8

TURQUIE – Les petits métiers

Nous avons été étonnés par le nombre d’employés dans les restaurants, les hôtels, les cafés, les bus. Dans un bus longue distance par exemple, ils sont 3 ou 4 : un ou deux chauffeurs, un serveur et un coordonnateur qui a en charge le placement des passagers et leur décompte.
Au restau, plusieurs serveurs (parfois plus de serveurs que de clients), des commis, des apprentis. A peine une assiette est terminée que quelqu’un vient la débarrasser. Le verre est vide, le serveur en charge de l’eau vient le remplir. Pour payer, l’un fait l’addition, l’autre tient la caisse. Sans parler du portier presque systématique. Une multitude d’employés qui sont au petit soin pour les clients. Leur nombre illustre certainement les salaires bas, mais donne un travail au plus grand nombre et assure au client un service 4 étoiles.

mai 21 2009

Tour du monde à vélo : Ces détails qui nous ont marqués 7

TURQUIE – L’Ayran
Si la boisson nationale est le thé, un autre breuvage fait l’unanimité ici : c’est l’AYRAN.
Ce lait caillé mélangé avec de l’eau est servi à tous les repas et les menus des restaurants le positionnent en haut de la page réservée aux boissons, loin devant les Coca-Cola et autre soda américain. C’est une boisson idéale pour les plats épicés car une gorgée annule immédiatement l’effet des piments avant que les larmes ne vous montent trop aux yeux.

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mai 13 2009

Tour du monde à vélo : Ces détails qui nous ont marqués 6

TURQUIE – L’Eau de Cologne

C’est une constante, un incontournable. Dans chaque restaurant, même dans les gargottes cradingues, à la fin de chaque repas, tantôt avant, tantôt après l’addition, on nous verse de l’Eau de Cologne dans le creux des mains. La plupart du temps le parfum est assez discret, mais on est tombé sur 2 ou 3 flacons avariés qui sentaient le « Canard WC ». Idéal après le déjeuner.

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